Poétickets brestois (1)
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Archives de l’auteur : girafe
Les moins de onze ans (2)
Les moins de onze ans
Dans le jeu des poétickets, nous distinguons deux catégories : les moins de onze ans et le reste du monde. Aujourd’hui et demain, des poétickets composés par des enfants.
La vingt-cinq
Le Transsibérien c’est du toc
Il esquive Poulcanastroc
L’Orient-Express est un ratage
Il évite Kertatupage
Le Pacific Railway j’abhorre,
Il ignore Poullic al Lor
Mais la vingt cinq, la ligne reine
Elle au moins dessert Palaren
Yvon Coquil
L’invisible enfant
Aujourd’hui, un poéticket lauréat de 2013, toujours très remarqué chaque fois qu’on expose des poétickets, écrit par un tout jeune collégien. Le thème du concours était, cette année-là : « Les petites voix ».
Des poèmes sur les bus
Petit retour en arrière… Pendant 4 ans, de 2006 à 2009, des poèmes lauréats étaient affichés au flanc des bus brestois pendant trois semaines, un mois environ – le jeu se déroulait à cette époque uniquement sur tickets de bus.
Voici quelques uns de ces poèmes :
Bus décoré, non avec des poèmes lauréats, mais avec des invitations à concourir, sous forme de poétickets, pendant le mois de mars 2007 :
Quand pointent les crocus
Écrire à qui l’on aime
Un tout petit poème
Sur un ticket de bus
Opérats
En des temps reculés
Au village on a vu
Mille rats dans la rue
On l’a trop répété !
Et ça fait aujourd’hui
Comme une litanie
C’est l’afflux tant chanté
Yvon Coquil
Animalerie
Ce poème de Tatave Mâchicoulis, ainsi que le suivant, nous sont parvenus au printemps 2007.
Le thème du concours était: « Transport amoureux ».
A Brest même
Ce poéticket anonyme a été expédié en 2006, lors de la première édition du jeu. Il ne faisait pas partie des lauréats (mais il aurait pu !). Vous pouvez vous immerger dans les poétickets gagnants de chaque édition sur cette page : Les lauréats des années précédentes.
Prenez votre poème en photo !
Quelques nouvelles de la poésie sur tickets…
La date de clôture du jeu est reportée à une date encore non précisée, afin que les participants aient la possibilité, dans quelque temps, de nous faire parvenir leurs poétickets.
Il est aussi possible de prendre son poème en photo et nous l’expédier… merci à ceux qui l’ont déjà fait !
L’adresse à laquelle nous envoyer le scan ou la photo de votre poème sur étiquette, ticket ou tout support apparenté, est la suivante :
Le jury se réunira donc plus tard cette année. Nous publions aussi sur ce blog, à partir d’aujourd’hui, un poème par jour, souvent puisé parmi ceux reçus les années précédentes.
Mais, à tout seigneur, tout honneur, commençons par un poème inspiré à Yvon Coquil, parrain de l’édition 2020, par un ticket de bus :
Après mon bus j’ai cavalé
Mais il ne m’a pas attendu
Quand, enfin, je l’ai rattrapé
C’était pour rien: j’étais rendu.
N’oubliez pas :
